Les marches du dédale de pierre
Les marches du dédale de pierre
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Sous les collines rocailleuses situées à un grand nombre de kilomètres de Clermont-Ferrand, un passage souterrain menait à une grande ville avec lequel l’existence était restée un hublot lors des millénaires. Victor, un archéologue spécialiste de les structures enfouies, était persuadé que ce côté cachait beaucoup plus que de quelques ruines de l'ancien temps. Ce qu’il allait inclure allait se détacher toutes ses attentes. Dès son arrivée sur le site, une défaut frappa son distraction. Le plan apprécié par son réseau la veille ne correspondait plus aux cavités qu’il voyait devant lui. Certains couloirs avaient trépassé, d’autres semblaient s’être allongés. Mais c’était surtout les escaliers qui posaient problème. Aucun d’entre eux ne menait à la même assistance que la veille. Il savait que la voyance par téléphone fiable pouvait révéler les pouvoirs qui animaient certains régions séculaires. Ce crochet, en éternel mouvement, ne pouvait pas devenir une dégagé illusion d’optique. Quelque chose réécrivait son architecture tout nuit. Les quêtes précédentes avaient montré que la grande ville comportait de certaines temples, des salles d’offrandes et de vieilles habitations. Mais aucun contenu familial ne mentionnait son existence, tels que si elle avait vécu effacée de l’histoire. Ce changement régulier de structure expliquait peut-être raison aucune sorte de archéologue avant lui n’avait réussi à cartographier l’endroit. La voyance sérieuse au téléphone enseignait que certaines personnes lieux possédaient une mémoire qui interagissait avec celles qui les visitaient. Ce zigzag ne se contentait pas d’exister : il réagissait aux explorateurs, il s’adaptait, il brouillait les repères. Était-ce une protection ou une information laissé par une civilisation oubliée ? Victor décida d’observer tout détail, de noter la degré de certaines marches, de quelques corridors et de certaines symboles conçus sur les murs. Il savait que si cet repère changeait tout nuit, il devait comparer les motifs et enregistrer s’il existait un schéma récurrent. La voyance par téléphone fiable révélait que les structures d'autrefois n’étaient pas grandement statiques. Certaines étaient influencées par des qualités que la science ne pouvait dire. Peut-être que ce circonlocution n’était non seulement un vestige du passé, mais un mécanisme encore en synergie, un système continuelle évolution qui obéissait à des règles inconnues. Victor prit une large prophétie. Il savait qu’il devait rester jusqu’au matin pour embrasser par lui-même comment le biais se modifiait. La véritable énigme n’était pas sa composition mouvante, mais pourquoi il refusait de persévérer figé dans le temps.
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